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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 19:43

merci à Setâd é Niâvaran pour la photo

Lundi-25 mai 2009
On marchait comme d'habitude du lundi la distance entre l'Université et le carrefour en parlant sur les sujets communs. Je m'abstenais notamment de parler sur ce que tout le monde en discutait ces jours-là: la politique, l'élection présidentielle, et tout ce qui les concernait. Mon amie avait boycotté de voter (ce qu'on l'appelle rayé khâmouche = un vote frustré) comme selon elle, cela n'allait pas être un scrutin fiable et en plus on ne devrait pas voter au système quand on doute sur sa validation. J'étais quasiment de même avis, mais j'insistais que la moindre possibilité d'efficacité de ce procès, nous impliquera d'y participer, et que faire in effort même si le résultat n'est pas garanti, serait mieux de n'avoir rien fait. On avait déjà eu des discussion presque inachevées et ainsi, la marche de lundi passa sous le calme des ombres des platanes. Quand on se séparait, une autre copine me donna un fin ruban vert, étant le symbole de mon candidat choisi. Je l'attachai de suite autour de mon poignet droite, comme un bracelet. Ces jours là on apercevait par-ci par là des gens, plutôt les jeunes qui portaient l'habit vert, ou qui avaient le même ruban autour du poignet; beaucoup moins nombreux en portaient en rouge ou en tricolore du drapeau de l'Iran, qui représentaient les deux autres candidat et je ne me suis enfin pas aperçu la couleur indiquant du quatrième candidat, certains disaient blanc, de ce que je n'en ai rien vu. En tout cas, tous ces coutumes n'étaient pas très populaire à l'époque.

Je marchai un peu plus loin jusqu'au bord de la route pour prendre un taxi. Mon ruban vert ne pouvait pas être vu par les gens et les voitures qui traversaient tous de ma gauche. Je m'assis dans un taxi et après quelques minutes il démarra. Ce jour ensoleillé passait en silence. En arrivant à la première rue principale, je vis deux voitures sur lesquelles des rubans verts étaient attachés aux antennes de radio, et d'autres rubans autour des poignets des jeunes de ces voitures. Le conducter de Jeep montra, ayant un visage rigoureux, le signe de la victoire ce qui se fait en croisant les deux doigts, à la fille de l'autre voiture celle qui fit le même geste; les autres compagnons étaient restés silencieux, comme s'ils étaient pendant une émission particulière. C'était la première fois que je vis une telle communication, et je compris tout de suite la forte impression qu'elle porte. J'étais assise près de la fenêtre gauche de taxi et donc mon ruban vert ne pouvait pas encore se manifester. Je me fus tenté par cette illusion que la main droite est beaucoup moins vue que la main gauche. Je continuai à mes observations et à découvrir d'autres signes politiques, mais une sorte de néant flottait dans l'air. La rue Vali-e-asr n'était pas bruyante comme ce qu'elle était d'habitude, aucune voitures ne klaxonnaient, personne ne parlait dans le taxi, ni en dehors. Ni le lecteur ni la radio n'étaient allumés dans le taxi, ni en dehors. On traversait disons en ralenti et le silence s'allongeait trop. Je me doutais si c'était réel ou j'étais devenu sourde. En se reprochant de la place de Tadjrich j'espérais entendre le moindre bruit et cela arriva, encore qu'il soit resté comme un murmure dans ce jour muet.

 

Lorsque j'étais montée dans un autre taxi, mon ruban vert fut enfin vu par ma voisine. Elle m'a interrogea un peu et puis me raconta de son fils qui était lui aussi partisan de Moussavi, et comme il consacrait toute sa journée à faire des activités publicitaires pour lui. Ce jour-là cela me parut l'extravagance et je répondis que j'étais plus occupée que je ne pouvais faire rien de plus. Elle me comprit, puis ajouta qu'ils iraient voter pour toute la première fois depuis la révolution de l'année 1979, et elle me pria de continuer à faire toutes activités que je puisse; puisque c'est l'enthousiasme des jeunes qui pourra enfin allumer le feu, dit-elle.

à suivre...

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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 20:50

L'accès à ce blog était bloqué depuis l'Iran cela fait trois mois. J'avait écrit au filtering mais ils ne l'ont pas considéré, jusqu'à ce qu'il y a quelques jours que j'ai reçu un courriel du même département, dans lequel on m'avait présenté quelques proxies avec des souhaites de liberté à la fin de courrier. C'était trop bizarre: ils filtrent, et ils nous présente leur-même les anti-filtres. Je vais promptement compenser cette vacance après ces grandes vacances obligatoires; jusqu'à ce que ces proxies marchent, et encore malgrés la vitesse très bas de l'internet de ces jours de l'Iran.

Ces jours bien réputés et inoubliables...

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 07:26

Des heures molles, évoquant un chat qui baille sous le soleil pâle d'hiver. Nous sommes en Iran, et c'est l'hiver. L'immobilisation, pas celle de climat ou même si c'est la conséquence du froid, on parle de l’immobilisation des travaux.

Par exemple, dans les universités, ces domaines les plus autonomes et les moins disciplinés. Si ma mémoire ne se trompe pas (car on perd naturellement la notion du temps après une durée trop prolongée), en tant qu’une étudiante je suis il y a deux mois en vacances. Ce n’était évidemment pas de vacances conventionnelles et heureusement que j’avais d’autres engagements pour m'occuper; cepandant les cours et la fac allaient me manquer; en négligeant des quelques jours que je suis passé par la fac pour les examins.

Voici donc le calendrier spontané des vacances scolaires : pendant un semestre, les étudiants s’abstiennent à participer les cours de deux premières semaines, et bien de la dernière semaine. A l'occasion d'une neige assez considérable, le ministère ferme les écoles et les collèges. Il faut compter aussi la dernière semaine de l'année,  des premiers jours après les vacances de Nouvel an, en ne pas oubliant les nombreux congés à l'occasion de célebrations religieuses, et je vous rassure qu'il en reste encore beaucoup d'autres. C'est pratique aussi de sauter le jour entre deux jours fermés, ce qu'on en avait beaucoup dans cette année.


Demain est un jour férié ; alors les iraniens se trouvent des gens les plus fatigués d’avoir trop de vacances !

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 21:10

Le soleil brillait comme presque tous les jours sur les rues de Téhéran, mais malgré l'embouteillage et la population habituelle, ces rues-là, bien qu'elles étaient situées au centre-ville, manquait de circulation humaine et de voiture ce jour-là. En traversant un rond-point et après avoir constaté une ligne des voitures de police garées au bord de la rue, on a reconnu le rapprochement de la préfecture de police. Il était 10 heures du matin et je m'y trouvais pour prendre une signature complémentaire d'un dossier de voiture. On allait y entrer, mais sur le coup le soldat vigil nous empêcha de pénétrer devant la porte.
-Personne n'est pas là !
-Nous avons rendez-vous à tout à l'heure.
-Je sais, mais personne n'est pas là, tout le monde est dans la réunion. Cela ne finit que dans une heure.
-C'est juste pour une signature.
-Mais tous ces gens sont là pour une signature !

Répondit-il avec un air fatigué même un peu énervé; et c'était le moment où je me suis aperçu des autres de ce qu'il parlait, cinq personnes debout tout près de nous, qui nous regardaient tous ensemble. Je tourna ma face au soldat; il était placé dans une petite cabine, portais un uniforme vert foncé, des bottes en vernis blanc qui pouvaient montrer ce soldat n'est pas à se déplacer ; pendant son cou,il avait un fusil, ses doigts étant très proche de la gâchette. Une femme s'approcha de moi et commenca à me parler de son affaire tordue qui s'était prolongé depuis l'été ; à chaque fois on l'avait renvoyait aux d'autres départements pour prendre d'autres signatures, un témoignage de bureaucratie en Iran. Après, on se mit à interroger le soldat : à quelle heure exacte la réunion terminerait, qui était le chef de ce département-là, est-ce que l'ancien patron était meilleur ou pire... et toutes ces questions rendaient ce soldat plus embêtés et l'ambiance me donnait l'impression d'être dans les films bandits, dans un moment où un personnage fâché tire sur son entourage sans penser à la suite. Mais celui-ci nous a étonné autrement : au bout d'un moment il a commencé à prononcer des mots péjoratifs et des insultes aux chefs et à ses supérieurs. On se tut.
Après un silence court résulté d'un choque, les gens, qui étaient pour un moment d'avant très agités, essayèrent de calmer le soldat et le consoler, peut-être pour baisser sa culpabilité, ou celle d'eux-même, et moi et mon père les laissâmes dans leur monde et on alla prendre un café.


Après une demi-heure on retournona. Tous étaient encore là, en plus deux hommes aux cheveux gris, les nouveaux arrivés. Une petite troupe s'était spontanément créée dont les adhérants critiquaient les démarches administratives, la négligence de droits de l'homme et ces officiers à leur avis moins savants que ce soldat. Notre soldat, le révolté, d'un air triomphant se moquait : "Le Hamas c'est plus important, le Gaza c'est plus important !"


Les discours suivants disparurent dans mes oreilles. Pour un instant, je me suis faite distraire par l'imagination. Ce soldat insoumis dans un uniforme horizontalement noir et blanc, son bonnet transformé à un petit bonnet rond, et à la place de ces bottes blanches, un boulet enchainée à son pieds montrerait ce soldat n'est pas à se déplacer.

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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 22:54

Omar Khayyam (XIe) est l'un des grands sages et poètes iraniens. Sans aller considérer ses parcours scientifiques ou sa philosophie dans ce billet, je vous laisse en partie le plaisir de sa poésie par quelques vers (des quatrains) apportés ci-dessous. On pourra y trouver un paradox caché dans la mentalité.


 

قومی متفکرند در مذهب و دین 
جمعی متحیرند در شک و یقین
ناگاه منادیی درآید ز کمین
کای بیخبران راه نه آنست و نه این

D'aucuns cherchent en vain à définir la Foi,
Et d'autres, pris de doute, ont l'âme en désarroi
Mais soudain va surgir un messager céleste
Disant: "Pourqoui ces deux fausses routes, pourquoi?"

 


ترکیب پیاله ای که در هم پیوست
بشکستن آن روا نمیدارد مست
چندین سر و پای نازنین از سر و دست
بر مهر که پیوست و بکین ِ که شکست

Beau dessin de la coupe, oh! qui t'a composé?
A t'effacer qui peut se croire autorisé?
Las! quel amour créa ces pieds, ces mains, ces têtes,
Et par quelle fureur tout cela fut brisé?


Et finalement ce dernier est l'un de mes plus préférés dont je ne suis pas arrivée à trouver la traduction française malgré des recherches, quand même je n'ai pas pu éviter de le poser ici :


آنانکه محیط  فضل و آداب  شدند
در جمع کمال شمع اصحاب شدند
ره زین شب تاریک نبردند برون
گفتند فسانه ای و در خواب شدند
.

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 15:25

Par entendre ou par découvrir de diverses idées sur la position de la liberté des jeunes en Iran, notamment due aux commentaires aux paroles du président, qui avait dit l'an dernier à l'Universite de Colombia que "l'on n'a pas tellement d'homosexuels en Iran", j'ai pris conscience que ce sujet et plus globalement le visage des jeunes reste de plus en plus obscure pour ceux qui apprennent l'Iran par les médias. Selon des demandes je vais compléter un article récent à ce sujet qui s'agissait plutôt des concepts personnel et pas forcément inchangeable

 

 

Dans un regard d'ensemble, les hommes sont encore plus libre et le tabou est moins faible par rapport aux femmes, et c'est bien conçu chez partout quant aux filles elles auraint plus prudentes, car dans la mentalité totale du pays il faut proteger la virginité jusqu'au mariage. Alors dans des telles circonstances où il y a des filles qui facent des difficultés le temps de mariage, et au pire des situatiuons quand il y a encore des familles qui excluent leur enfante de chez eux ou même quand ils la coupe la vie, le corps d'une fille considéré comme un corps céleste peut s'éloigner jour par jour d'un être terreste et lui mener des pratique antinatureles ou l'oublie total de ces catégories. On peut alors s'apercevoir d'une rupture dans la société : D'un côté les jeunes les plus libres, soit la grande majorité des garçons et seulement les filles les plus modernes (et même pas toutes entre elles) qui tiennent excessivement à cet égard et cet importances qu'ils tiennent au côtés physique peut mener à la superficialité. D'autre, des jeunes et plus particulièrement les filles qui considèrent tout ce qui y concerne comme le sujet d'un grand tabou, ou plus simplement, ils en évitent inintelligible. Je m'abstiens à compter ceux qui peuvent en éviter consiemment.

Je peux dire dans ce qui concerne les homos en Iran, à part de ce qui sont le
 cas d'une tendance naturelle, il y en a en plus des gens qui était empêchés à répondre à leur exigences, fille ou garçon. Pour les garçon je peut notter les violes fréquent dans les collèges, à l'arrivée de l'âge de pubérté, et moins souvant dans les lycées des garçons. Mais dans tous les cas, pour les homosexuls, ce qu'on en a bien évidemmen en Iran, la situation est toujours mauvaise. Alors c'est la peur d'exécution portée par le gouvernement islamique*, et le fait d'affronter à une société fermé, qui leur empêche de manifester sa vérité ou même parfois de n'y pas penser depuis le premier jour, même malgré leur peine. Iran est toujours une société traditionnelle et la plupart des gens sont croyant ; bien qu'ils soient pas des musulmans pratiquants, mais comme l'homosexualité est interdite en Islam il est considéré comme un tabou, presque comme tout ce qui concern aux relations sexuelles dont seulement les garçons se sont émergés.

J'esp
ère que j'ai pu un peu illustrer ces points les plus compliqué de notre société.

*La législation en Iran condamne les homosexuels à mort par de jet de pierre (sangue-sâr), un châtiment islamique brutal. C'est pareil aux femmes mariées qui ont des rapports hors-conjugals. Les relations physiques illégale (hors mariage ou hors de concubinage législatif) condamne à coups de fouet, mais qui peut être acheté par une somme d'argent.

(http://koochebagh.over-blog.org/article-25489904.html). Il faut dire que c'est loin de la réalité de pouvoir considérer tous les aspects d'un sujet seul, et dans un billet, mais j'essaie d'en apporter ce que je trouve plus intéressant et ce qui reste peut-être encore raffiné par des valeurs personnelles. Dans la société iranienne, c'est bien évident que les gens comme partout aient des relations physiques, bien entendu hors conjugal, et malgrés tous les contraints gouvernementaux ou les normes sociaux. Ce dernier diffère encore selon le milieu social, l'âge ou bien la région.
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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 21:12

La cour de "Bazar e Imam", Isfahan janvier 2009

Isfahan est réputé pour son architecture ancienne et originale qui appartient d'une grande partie à l'ère Safavide (XVI-XVIIIe siècle), à l'époque où Isfahan fut la capital d'Iran ; en outre il y a du soleil et d'une fraîcheur comme il faisait toujours beau dans le voyage que j'ai eu à mois de janvier. La ville était entièrement fermée les deux jours de Tassoua et Achoura (les jours de deuil pour les musulmans chiés), même les restaurants dans le quartier arménien qui appelait Jolfa. On ne voyait pas non plus les groupes de cérémonie dans les rues comme à Téhéran, alors les mosquées semblaient être les endroits de deuil. On pourrait alors trouver Isfahan très silencieux, un peu mélancolique et beaucoup plus calme ; avec ses propre charmes, et le jour après les deux fériés la vie lui est revenue et le courant de la réalité a terminé tous ces impressions poétiques d'un Isfahan d'antan.


Sa beauté et son exotisme rendent cette ville agréable dans tous les cas, voici je vous en partage le moindre.



Le pont de Khâdjou



Si o Se Pol  (trente et un ponts)






L'intérieur de l'hôtel Chah-Abbasi (Andarouni)



Dans le coin d'une rue, devant un magasin de réparation je me suis aperçue de cet ancien lave-linge, solitaire et fatigué, attendait sa prochaine réincarnation.

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 08:16

Il est encore là ; jeune et inquiet dans son 206 blalnc et trop propre certainement neuf ; il a une casquette noire, un papier dans la main et il semble qu’il attende. Dès que je suis arrivée il était venu. J'ai toujours le visage tourné et je regarde la chaine des voitures qui viennnent dans l’autre sens de la rue ; je m’aperçois qu’il sorte et qu’il va parler au gardien, mon doute accroît et alors je le regarde même de plusieurs fois, il est encore silencieux. Un autre Peugeot d’un modèle plus ancien est arrivé derrière lui, klaxonne et rend cet étranger plus anxieux, qui remue maintenant niaisement le papier entre ses doigts. Je décide enfin d'appeler le bureau de taxi afin de reconnaître le modèle de voiture qu’on m’a envoyé ; le gars en appareil change comme d’habitude son ton de voix, comme celui de père d’une fillette en la répliquant. C’était bien lui-même, le taxi, mais mon doute avait aussi bien de raisons :

En Iran la plupart de taxis collectifs sont de Peykan, et les taxis privés sont de voitures un peu plus récents, mais celles de modèles de plus coûteux sont rares. Seule dans le Sud de l’Iran comme à Kish les taxis collectifs sont de Toyota ou de Mazda. C’est une région libre de douane donc le prix de voiture est très moins cher, quant au reste de l’Iran les prix diffèrent beaucoup qu’à l’origine.


Mon autre raison concerne la culture, qu’une fille ne demande rien d’un garçon ce qui relie à monter sa voiture, quand il est très probable que des hommes se garent pour prendre la fille qui attend dans la rue, présageant une aventure, une drague ou d'autres buts. Il y a parfois même souvent des filles qui accueillent ce comportement, notamment s’il était un beau garçon, notamment s’il avait une voiture élégant, elle tenterait de monter ; sinon, elle le compte au moins un témoignage à sa jeunesse ou sa beauté, quel qu’il soit faux, et elle tourne son visage. Je vous expliquerais ce dernier : L'interdiction de s'exprimer librement qui s'est propagée presque dans tous les contextes de la société, a beaucoup changé le sens et le propos compris par les comportements, qui fait beaucoup de malentendus dans les rapports sociaux et fait pouvoir facilement mentir sur son propos. On pourrait donc se tromper en restant dans un doute infini alors ratifié par son impression personnelle aussi fausse, et dans ce cas-là, c'est de l'être jeune et désirable pour les homme qui veulent lui prendre sur leur voiture, mais la vérité est de l'être femme. En négligeant les filles qui fondent des tâches exprès pour attirer l'attention et être davantage considérées dans ces jeux, une fille de plus belle ou jeune serait plus accusée d'en faire partie et serait plus condamné à ces comportements.
Avoir grandi dans une telle société m’a fait excessivement indifférente à mon entourage et même dans le cas d'une demande de taxi, je ne voulais pas rompre cette grande distance que je faisais toujours entre mon privé et l’extérieur, sans en avoir bien été assurée. Il l'était alors difficile de me parler.


J’ouvre immédiatement la porte de voiture, lui dis ‘’vous êtes le taxi ‘’ comme l’explication de mon fait. Dès lors m’assoyant, l’odeur forte du parfum attaque mon nez. Je trouve mon intonation un peu reprochant. Le chauffeur, évidemment timide, se tait. 


Ou peut-être c’est les bandes forte de son lecteur qui crieront à sa place.

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16 janvier 2009 5 16 /01 /janvier /2009 15:37

À partir du 6 décembre 2008, il y avait eu lieu le festival de musique de Fadjr pendant une semaine à Téhéran. Le calendrier avait changé cette année, à cause de la simultanéité avec le mois de Moharram, auquel les iraniens chiés sont en deuil. Chaque soir de divers concerts étaient représentés par de grands orchestres (comme celui d'orchestre symphonique de Téhéran), de grands musiciens et de chanteurs populaires. Les genres étaient variés de pop, classique, folklorique et la musique traditionnelle. De grandes salles, des amphi-théâtres et des maisons de culture organisaient ensemble ces soirées.


Mercredi soir, nous étions trois assis dans la salle de théâtre de Niâvaran. La salle était petite, plusieurs sièges étaient restés vides. Il s'agissait d'un récital de piano. Le pianiste serais un jeune homme, compétent selon sa petite biographie et j'avais aperçu la liste de pièces réputées à jouer. Il y avait eu une trentaine de minutes de retard, mais l'attente aurait fini : On est tout à fait étonné. C'est un garçon, âgé environ 12 ans, suivi d'un corniste. On s'est peut-être trompé de la salle, ou de l'heure ; mais le catalogue montrait autrement. On les applaudit en se réconfortant par le supposer l'introduction. Mais au moment où il met ses doigts à jouer, ce petit pianiste nous révèle sa grande âme de l'agilité. Il jouait sans exagérer aussi bien que les artistes connus dans le monde. Comme il a passé d'une demi-heure, on savait qu'il resterait jusqu'à la fin. Il jouait le romantisme d'une manière classique, mais c'était bien joué. Néanmoins, mon compagnon, un petit garçon du même âge du pianiste, restait encore contrarié d'avoir assisté à un enfant.
Une fois, pendant le silence entre deux pièces, la voix élevée d'un homme âgé a fait choque. Il s'adresse indécemment à l'un des photographes et l'accuse de faire distraire les auditeurs et l'artiste. Un autre homme lui admet est désire faire sortir ce photographe. Nous nous tairons, très gênés d'être assis dans tant d'ambiance. Enfin, notre artiste entre en scène et change l'atmosphère par l'air de la Pathétique. Mon petit compagnon est encore plus mécontent par le revoir.


Après une heure la séquence est finie. Nous quittons la salle, en en restant intrigués. J'interroge une femme en tchador debout devant la porte sur le changement d'heure, en l'imaginant une responsable. Son regard était toujours sur mon foulard : "faites mieux d'attention à votre hidjâb, mademoiselle." Mes sourcils montent et je n'ai pas pu garder mon sourire à travers cette réponse, pourtant je m'étais habillée sobrement. Nous apprenons de gardien que le programme présenté avant sera la deuxième partie de soirée, après une pause de 15 minutes. Alors mon compagnon a tout d'un coup enlevé les grimaces du visage.
Le monde avait réunis dans la cour. Le néon bleu désignant le café et le dessin d'une tasse chaude, nous montre l'endroit de repos ; mais ce magasin n'a pas l'air de café : aucune table, trop illuminé avec quelques grands fauteuils. J'ai demandé de la caissière le menu, la réponse est bien entendue : "Oh désolé, on a changé de métier,... mais il y a un cantine jute à voisin". Le cantine est seule une caisse et il n'est rien resté à partir des chips et le nescafé chaud. On en commande. Un tableau en bois qui est appui au mur devant nos pieds, affiche le menu et les prix dont plusieurs caractères sont pâlis ou effacés. Au-delà de la caisse, trois jeunes garçons serrés semblent les marchands. L'un s'est penché, fixé a un petit four micro-onde dont je reconnais trois verres d'eau tournants, les nôtres. L'autre est assis près d'une grille sur laquelle il y a depuis longtemps un saucisson qu'il prêtait pour lui-même, mais nous l'a finalement offert, faute de temps à l'offrir. L'autre nous donne des paquets de nescafés en poudre, sucre en poudre et l'eau arrive après une dizaine de minutes. Elle est encore froide.


Dans trente minutes la soirée est finie. Je n'ai pas apprécié le deuxième artiste, mais mon petit compagnon, tout encore heureux, m'expliquait des raisons de plus bizarres pour me persuader et moi j'ai fait semblant de lui admettre.

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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 19:25

Le pays semble Islamique à l'extérieur, dans le contexte c'est encore le contraste des idées entre les générations. Qu'est-ce qui est arrivé? Les parents, élevés dans une société plus libre, non-islamique, n'admettent encore ces droits de liberté que les enfants du régime islamique en exigent. L'un, et le plus banal, c'est la relation entre les filles et les garçons. Mais le nouveau souci vient d'arriver: la liaison entre le même sexe, l'homosexualité. Les parents, calmez-vous! En ce cas-là, le résultat un peu changerait en Iran.


Avant tous, on va apprendre le visage de ce sujet dans le monde entier. Il y a quelques décades après Freud et Nietzsche, les gens ont commencé à casser les normes et les tabous, grâce au nom de liberté . Les adhérants des idées nouvelles se trouvent éclairés et modernes. À l'époque, après l'épidémie des relations sexuelles, on en a trouvé une autre forme pour présenter au monde. Mais est-ce que l'homosexualité n'existait au paravant? Certes, mais cela n'étais jamais tellement soutenue et tellement publiée. C'est un sujet nouveau et la nouveauté, ce qui est toujours désiré par les médias.


Qui est un homosexuel? Tout simplement, la personne qui aurait l'attirance sexuelles et affectueuse à l'égard des individus de même sexe. Mais qu'est-ce qui cause l'homosexualité? C'est un peu compliqué à répondre. En gros, l'humain est né avec une variété des tendances sexuelles (ce qui forme les autres attirances). C'est-à-dire ce qui existe est plutôt seulement la tendance, et pas vers un sexe ou une part definis. Si l'on donne la couleur de blanche aux hétérosexuels et le noir aux homosexuels, comme tous les autres sujets, la plupart des gens se trouvent gris. Ce sont les imaginations formées en enfance et le physique général d'un corps humain qui mène l'humain plutôt vers le sexe opposé, c'est à dire qu'on s'imagine blanche. Il existe encore des personnes ayant fortement des tendances homosexuelles, à cause des hormones ou bien des circonstances mentales très particulier, mais ils sont vraiment moins nombreuses que les nombres qu'on signale aujourd'hui. Quand un homme est normalement gris et il voit généralement sa blancheur, la publicité peut en bénificier pour montrer lui  l'autre couleur des tendances.


C'est vrai. Le nombre des homosexuels purs est déjà inférieur, mais après ces publicités, l'homme gris, s'étonne d'avoir trouvé l'autre parti: j'étais toujours homosexuel mais je ne m'étais pas rendu compte. l'autre taux sont des individus déjà éclairés, déjà fatigués d'avoir trop de relations avec le sexe opposé, disent bonjour à une expérience nouvelle donc amusante. C'est leur droit d'être libre, d'être amusés.

Mais est-ce que les droits de l'homme d'aujourd'hui est toujours déterminé par lui-même? Jusqu'à quelle point, sa liberté est en faveur de lui et lui rend heureux? Le dernier résultat de la liberté sexuelles, serait des hommes sans famille, des couples divorçant facilement. Maintenant, les homosexuelles, même sans enfant. La liberté humaine n'est toujours pas ce qu'elle ressemble. Elle est parfois destinée par les chefs des sociétés, pour diriger et orienter les gens et puis, elle est fortifiée par les médias comme un sujet neuf pour la publicité, et c'est de la commerce.


Est-ce qu'en Iran, un pays dans lequel les jeunes passent davantage leur temps avec le même sexe, la possibilité d'être homosexuel augmente? Pour y répondre, on peut imaginer une chambre remplie des filles et des garçons. Quand c'est mixte, chacun aura autant de chance de faire face à une fille qu'un garçon, donc ces publicités affectent en plus à former les tendances sexuelles. Mais lors qu'on les sépare à deux groupes de fille et de garçon, comme en Iran, on fonde naturellement une tendance vers le sexe opposé.

 

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